Je suis super contente que ça commence à fonctionner ce truc, et que des gens soient assez sympa pour me contacter pour publier chez moi (bon, genre la fille qui se la pète, UNE personne s’est proposée, et j’ai supplié les deux autres, mais passons).
Aujourd’hui, c’est Maman Sioux qui s’adresse à vous. Maman Sioux, elle est déjà maman d’un petit tonique. Ca n’empêche pas que des fois, les gens la font chier et elle le dit, comme ici. C’est aussi une vraie copine que j’ai rencontrée dans la vraie vie, même que je suis déjà allée dans son tipi. Maman Sioux, elle a pas spécialement eu de problème pour avoir son fils, mais maintenant, elle est confrontée à ce que personne ne voudrait connaitre: la frustration de ne pas pouvoir avoir un enfant quand on veut. Elle fait partie de ces personnes qui m’ont permis de relativiser ma situation et d’arrêter de me prendre pour le centre du monde comme je vous le disais il y a peu de temps. Et je lui laisse la parole d’ailleurs:
L’infertilité temporaire ou la vie de mes feignasses d’ovaires
L’un des avantages indéniables de ma grossesse, c’a été de ne plus avoir à me demander sans cesse si ce disgracieux petit bourrelet ventral était simplement un rappel des séances d’abdos que je m’appliquais à éviter ou la manifestation physique so glamourous de ma constipation quasi permanente. Oui parce qu’un jour, j’avais fini par me rendre compte qu’une fois sortie des toilettes, j’avais bien moins de bide… et j’en étais toute retournée ! (c’était ma petite touche trash personnelle, le sésame pour avoir le droit d’être publiée ici – d’ailleurs, je me demande même si je suis pas pire que Faith là, parce que parler fond de culotte quand on est une fille, c’est pas si inhabituel… mais peu nombreux sont ceux qui osent aborder la question du petit chemin boueux).
BREF.
Petit résumé pour les gentilles lectrices de ce blog qui ne me connaissent pas : j’allaite mon (premier) bébé de 13 mois et depuis mon retour de couches lorsqu’il avait 3 mois, je n’ai jamais eu mes règles (ni ce qui les précède). Sauf que moi, ça m’arrange pas des masses de pas ovuler, vu que j’aimerais me lancer dans l’aventure du 2e, ayant un trip sur les enfants d’âges rapprochés, toussa toussa.
Donc maintenant, quand je regarde mon bide, je me dis : oh, ça fait comme une boule là à droite quand je touche (quand je veux faire une pause au boulot, je me tâte le bas du ventre, chouette hein ?) !! Je suis sûre que c’est l’ovaire qui travaille, c’est obligé vu que ma courbe de température elle a carrément baissé ces 2 derniers jours. Ou alors ce sont des restes de repas qui ont du mal à passer le 3e coude de mon gros intestin… (j’ai envie de parler de mes intestins aujourd’hui, désolée).
Ah je vous avais pas parlé de la courbe de température ? Ouais bon ok, j’ai pas règles mais ça empêche pas de s’amuser un peu non ? (à base de température rectale matinale tous les jours de la semaine, chacun ses jeux, et moi je le vaux bien !) Et puis la glaire, j’ai jamais réussi à voir clair (non, pas Claire de Clearbue, manquerait plus qu’elle…) dedans alors fallait bien un truc un peu tangible (des chiffres, de la courbe que diable ! Papa Sioux était même en joie à l’idée de me pondre un tableau Excel maison !).
Ah et puis l’autre jour, ça tiraillait vachement aussi.
– « Hé chéri, vas-y touche! Tu trouves pas qu’il est tendu mon bas ventre là? C’est pas un signe de début de grossesse ça ? »
Peut-être qu’à l’époque du contrôle (le jour où je suis allée faire un coucou de politesse à mes ovaires, genre comment allez-vous 1 an après ? Et si on se remettait au boulot bande de feignasses, non ???), le gynéco n’ait pas vu et que je sois enceinte quand même non? Genre si l’oeuf il était pas encore descendu des trompes ou je sais pas quoi ?
Bon OK, je vais pas faire pleurer dans les chaumières avec mon histoire (au moins j’aurais essayé), parce que c’est vrai, j’ai déjà eu un gamin sans problème donc y’a pas de raison que ça marche pas à nouveau (scientifique, l’argument, vous noterez). Mais bon, si la question de la conception était aussi aisée, ça se saurait (à part pour ma belle-mère qui arrête pas de raconter qu’à chaque coup, ils avaient à peine le temps de le décider qu’elle était déjà enceinte… ouais oh ça va hein, belle-maman !!). Je veux bien croire que ça va se débloquer « tout seul » (m’en fous, je vais quand même tenter de filer un coup de pouce à la nature : sevrage progressif, micro-kiné puis homéo s’il faut ou encore acupuncture) mais c’est comme tout : tant qu’on ne sait pas QUAND, bin c’est dur, c’est long, ça fait chier quoi…
J’apprends que rien n’est jamais acquis, qu’on n’a pas toujours ce qu’on veut quand on veut – je suis pas naïve à ce point, j’avais déjà remarqué quand même hein, mais dans ce domaine, passée la 1ère grossesse, ça m’avait pas effleuré l’esprit. J’apprends l’humilité, on peut pas tout planifier finalement, même si ça avait pas trop mal marché jusqu’à maintenant. J’apprends la patience, j’essaie de me raisonner à coups de « c’est mieux comme ça, Pti Tonique sera plus grand et plus autonome », « ça nous laisse le temps de finir les travaux dans la maison », « ça nous laisse de nous retrouver en couple » (ah ah ah), « de trouver un prénom si c’est un garçon » (super la justification de l’attente, vous noterez à quoi j’en suis réduite…), etc.
Mais j’ai un truc à vous annoncer : ça sert à rien ! C’est complètement pipeau. On ne raisonne pas ses tripes. On fait juste en sorte de remplir sa vie encore plus pour avoir encore moins le temps d’y penser. On en plaisante avec les gens qui te sortent fort à propos « oh, je croyais que tu allais m’annoncer le petit 2e !! », on recommence à acheter bêtement des fringues en 1 mois trop meugnonnes pour patienter (que d’ailleurs, s’il naît en hiver, il va se les cailler avec sa combinaison à manches courtes), on écoule tranquillement les stocks restants de tests d’ovulation parce que de toutes façons, ils sont périmés depuis 2 mois alors c’est mieux que de les jeter, hein ?
Ouais, ça paraît très long, ça fait chier. Et en même temps, chaque mois (enfin, après chaque séance sous la couette – non, ça veut pas dire que je baise qu’une fois par mois (quoique…) mais bon, comme en théorie, l’ovulation, elle a lieu qu’une fois par mois…), on y croit.
Et encore, je ne suis qu’un petit scarabée par rapport à Faith, mon maître… dont je partage temporairement et à moindre échelle le monde, et dont j’admire encore plus l’autodérision et l’optimisme.
Si vous aussi vous avez quelque chose d’intéressant à dire sur l’infertilité, vous pouvez venir le dire ici, en me contactant comme d’habitude à l’adresse suivante:
faithfully_y@ymail.com
Et sinon, moi, aujourd’hui, je suis chez Maman Sioux!
Je crois qu en ayant eu un enfant on ne s imagine pa qu on puisse être confrontée à l infertilité.
J ai toujours eu tendance à planifier les choses mais au final on se fait du mal qd ça dérape.
Je vous envoie des bisous, c est une excellente idée les échanges de blogs.
C’est normal aussi de pas pouvoir s’imaginer ce qui sort de l’ordinaire et qui reste marginal.
Et j’ai l’impression qu’un échange, c’est plus efficace qu’une blogroll pour faire découvrir des gens a ses lecteurs 🙂
Mais carrément! et puis c’est une vraie façon de faire connaissance, plutôt que de juste renvoyer des gens à un blog!
L’attente c’est terrible, et avoir eu un enfant avant ne rend pas les choses plus facile. C’est pourtant ce qu’on m’a dit une fois, sachant que je devrai repasser par le même parcours pour espérer faire un ptit deuxième, pas grave si ça marche pas vous avez la première… !! Ben non ça ne change rien, d’autant que malgré tout on garde le doux (utopique?!) espoir que la nature nous permette d’y échapper et on s’expose donc toujours à la déception. Des bisous à toutes les deux!! (et je croise tous mes doigts pour très vite des bébés à venir hein 😉 )
Oui, alors là, je mets juste un tout petit riquiqui bémol: moi je trouve qu’attendre en ayant zéro enfant, c’est quand même plus pourri que d’attendre en ayant déjà un enfant, parce que ok, c’est toujours très dur de remettre en question ses rêves de grossesse multiple, mais n’empêche que toi, t’auras quelqu’un pour payer ta maison de retraite et venir te voir, alors que moi si ça se trouve, je vais finir par crever seule et bouffée par mes chats! Bises!
Non mais c’est vrai que c’est pas comparable entre avoir connu 0 grossesse et l’avoir vécu 1 fois. C’était pour dire qu’avoir 1 enfant ne rend pas l’attente du 2e beaucoup plus facile à gérer je crois. Mais entre 1 et rien, c’est clair que y’a pas photo !
Bien sûr pas photo entre l’attente et le parcours difficile quand ça n’a pas encore fonctionné et quand ça a fonctionné une première fois, et pour cause on sait au moins que ça peut fonctionner! Comme le dit Maman Sioux, je voulais bien dire que ça ne rend pas les choses plus facile à gérer pour autant quand on repart de zéro, mais tu as raison quoi qu’il arrive elle sera là (pour moi, pour ma retraite.. ou pas ça se trouve elle me laissera comme une vieille chaussette :p) et j’en suis très reconnaissante à la vie! Bises!
Après c’est clair qu’attendre, et ne pas savoir, ça reste relou… !
C’est bien sympatoche (oui je sais tu aimes ce mot :D) :
– de faire connaissance avec d’autres blogueuses (je connaissais pas vraiment Maman Sioux, c’est chose faite !)
– de lire et de rappeler qu’il y a différentes formes de souffrances autour de l’infertilité ou du désir d’enfant
Oui, de se dire que bon, faut un peu arrêter de se regarder le nombril en se disant « oh comme je suis triste et malheureuse », et voir que proportionnellement à lui, chacun porte des choses trop lourdes pour lui par moment. Et ouais elle est très cool maman sioux!
Tiens, je ne te l’avais pas dit mais ma mère, après avoir eu mon frère aîné dès qu’ils ont souhaité un enfant, en voulait un 2ème très vite et de préférence une fille.
Régime alimentaire etc… elle pensait ne pas reprendre le boulot aux 2 ans de mon frère. Et puis c’est pas venu, rien! Surveillance des cycles tout le bazar et le temps passait… rien. Il lui a fallu presque 4 ans avant de tomber enceinte à nouveau.
Alors désolée si je te casse encore un peu plus le moral parce que mon histoire (oui là c’est vraiment la mienne, c’était moi dans le ventre) démontre un peu que c’est peut-être pas pour tout de suite (elle n’allaitait plus depuis longtemps, un point pour toi!) MAIS ça a fini par arriver et elle a eu une fille, ils étaient comblés…
Cette l’attente l’a marquée, cette frustration laisse des traces.
Tout ce que j’espère pour vous c’est que l’attente durera le moins possible.
C’est ça le plus dur, ne pas savoir combien de temps durera l’attente. Si c’était le cas, on aurait juste plus qu’à trouver des tas de choses pour remplir ce temps-là et ne pas trop le voir passer… Mais bon, c’est ce qui forge notre vie, on a pas trop le choix.
Je te comprends Maman Sioux meme si moi l’attente est pour d’autres raisons, l’attente c’est l’attente et c’est LONG!
Tout à fait. Je sais que toi aussi tu dois mettre ton envie de côté et je t’envoie du courage !
Ouais, surtout vers la fin comme on dit!
Je compatis ma belle parce que l’attente je l’ai vécue aussi pour Pimprenelle. Pas à cause de l’infertilité mais pour une autre raison que tu connais. J’ai attendu 1 an et demi avant de tomber enceinte. C’est évidemment peu par rapport à certaines mais c’était 1 an et demi de torture pour mes tripes qui n’attendaient que ça depuis des années.
Je t’envoie des pensées de courage et j’espère fort que tout ça va vite se débloquer !! Bisous
Oui, parfois, je me demande si je devrais pas arrêter de me plaindre parce que si ça se trouve, ça va arriver du jour au lendemain et au final, après coup, je pourrais pas dire que ç’aura été « si long que ça »… Mais attendre, c’est toujours attendre et le plus dur, c’est de pas savoir pour combien de temps. Bisous à toi aussi !
Oui, j’ai prévu des maraboutages et des trucs pour ce coup-ci!
C’est pas mal cette echange cela permet d’adoucir certains comportement « de haine » que l’on peux avoir quand on est enfermer dans sa propre souffrance et qu’on s’imagine pas quel souffrance cela peux etre pour une femme déjà maman de ne pas y arriver aussi. Super idee que cet echange qui montre bien que le desir d’enfant quand il tarde que se sois pour un premier, un second, un cinquieme si la nature nous met des batons dans les roues ont en chient ( p tite dedicace au colon de mme sioux 😉 voilà ca c’est fait :D).
Mme sioux j’envoie une lettre de menace a ton cycle et de bonnes ondes pour que enfin tu sais 😉
Tout à fait. Depuis que je connais Faith et d’autres personnes dont je lis les histoires sur la blogo, je réalise que derrière chaque femme enceinte, se cache peut-être une femme qui a attendu ce bébé très longtemps, qui a traversé des épreuves et ça, ça n’est pas écrit sur son front. Alors je m’efforce de pas trop lui en vouloir (bon, l’envier, ça, je peux pas y faire grand-chose…).
Et merci pour mon colon, il te rend affectueusement ton bonjour !! :p
Moi c’est mon foie qui vous dit bonjour si ça vous dérange pas qu’il s’incruste dans la conversation
Ouais, on peut tous souffrir du désir d’enfant à notre niveau quoi. Nan mais c’est vrai qu’on se rend pas toujours compte que les autres aussi peuvent souffrir, et puis on a tellement tendance par période à s’enfermer dans le rejet de tout ce qui nous semble plus heureux que nous… Ca fait du bien de voir du monde des fois!
Le petit monde de « l’infertilité » nous sommes nous même en plein dedans, avec les hauts et les bas qui font avec. On y croit à chaque fois, on s’écroule aussi à chaque fois, pour ma part mes ovaires fonctionnent, au ralenti du coup on leur donne un coup de boost avec mon ami cloclo, et dudu n’est pas loin non plus. Et puis on passe un spermogramme qui n’est pas très bon, et on attendant, un début de cycle tout bizarre, des douleurs inexplicables dans le bas ventre, et on tâte les nichons ici « dis tu les trouves pas un peu plus gros que d’habitude? » »ou plus plein que d’habitude? » Un prise de sang négative qui a ce stade pourrait malgré tout être un faux négatif, et l’attente encore alors qu’on était censé attendre le jour O pour se lancer dans les TPs. Les amis qui ont des rejetons comprennent la douleur de ne pas y arriver (enfin de ne pas y arriver de nouveau, alors que BB1 C1 sans aucun soucis), et les amis pourtant très très proches qui eux ne comprennent pas, oui j’ai déjà moi aussi droit à vous en avez déjà un, qu’est ce qu’il va penser de te voir triste, il ne va pas comprendre pourquoi vous voulez avoir un autre enfant et qu’il va croire que lui ne suffit pas (euh il a 2ans et demi là, quand je suis au fond du trou avec une déception je vais pas non plus lui dire que c’est parce qu’on arrive pas à faire de bébé)… bref voilà ma pierre à l’édifice 🙂
Ouais, les gens sont cons des fois, faut pas trop chercher, c’est dans ce cas-là qu’on se rend compte que des amis très proches peuvent aussi être des amis très maladroits
Pour TiBiscuit, je n’ai eu mon retour de couches qu’après l’arrêt de l’allaitement … Enfin même 2 mois après d’avoir arrêter d’allaiter totalement… Pourtant je ne lui donnais plus beaucoup de tétées…
Sauf que j’ai arrêté d’allaiter quand il avait 6 mois… A ces 9 mois, je tombais enceinte de Chupa 😉
Sinon ce que j’observe pour mon ovulation et c’est infaillible, c’est ma glaire 😛
Tout le monde a sa méthode infaillible on dirait mais moi, je suis trop nulle en observation de mon corps (ou mon corps est un peu bordélique peut-etre aussi…) donc j’ai choisi une méthode qui ne dépend pas trop de moi, qui soit un peu objective… Enfin, c’est pourri quoi mais j’y verrai plus clair quand j’aurai mes règles parce que dans ce cas, je définis une période cible et normalement, ça devrait le faire :-S
Bisous !!
Ah ouais la glaire pour moi aussi c’est assez représentatif! Mais faut avoir l’habitude et pas hésiter quoi! Et puis faut quand même avoir une certaine régularité dans ses cycles je pense pour pouvoir être sûr de soi!
Variations autour de l’attente… Selon l’humeur du jour, le temps qu’elle dure, sa cause… selon la manière dont on la supporte, ou dont on ne la supporte plus…
Ces échanges sont tops et font effectivement relativiser beaucoup!
Merci de ton témoignage & de ton humour…
Kakrine
Merci de m’avoir lue et pour ton propre témoignage, plein d’émotion et de force, que je n’avais pas pris le temps de commenter la semaine dernière 🙂
Carrément! C’est vraiment sympa comme moyen de rencontre, de croiser les vision comme ça!
Coucou,
mon histoire …
Mon 1er bébé est arrivé très vite sans qu’on se pose de questions … J’avais toujours rêvé d’avoir 2 premiers enfants rapprochés et du coup quand mon fils a eu un an nous avons remis ça.
Deuxième grossesse très très rapide aussi mais à la deuxième échographie le ciel nous est tombé sur la tête : oeuf clair, cytotec et curetage … nous avons repris tout de suite les essais mais pas de grossesse. S’en est suivie une année de douleur et de questions … et finalement une année pour faire mon deuil de ce bébé qui ne viendrait pas et de mon rêve d’avoir des enfants rapprochés.
Ce fut une année très difficile mais je me dis qu’elle m’a fait grandir car j’ai réalisé qu’on ne pouvait pas tout programmer et tout prévoir, elle m’a fait toucher du doigt la douleur des couples qui attendent vraiment … et peut-être être moins maladroite avec eux … et puis finalement c’était une année pour que ma Clara arrive. Aujourd’hui elle ne serait pas là si nous n’avions pas vécu ça. Quand je me retourne, je me dis que ça fait partie de ma vie mais effectivement quand on est dedans qu’est-ce que c’est difficile et long à vivre !
Filoune
PS : Faithfully, j’adore te lire !
Et oui, on ne choisit pas toujours quand le bébé va arriver! Tant mieux si vous formez maintenant une belle famille!
Merci pour ton témoignage. C’est vrai que quand le 2e sera là, je serais également comblée parce que ça sera LUI et pas un autre, et que de ce point de vue, l’avoir attendu aura été un bonheur.
En fait, c’est toujours pareil : pas facile d’être patient et si on pouvait savoir par avance combien de temps attendre, ça serait relaxant et rassurant… mais la vie, c’est pas comme ça ! 🙂